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présentation classé dans : non classé — 22 juillet, 2009 @ 9:03 si je devais me décrire je dirai de moi que je suis plutôt une femme fatale, dont toutes les autres femmes redoutent tant. oui je sais, c’est assez prétentieux et usuet mais c’est ce que je suis vraiment, et les personnes qui ont le plaisir de me connaître ne me contre-diront pas. ahhh les hommes, les hommes sont ma passion et moi la leur, je ne rate pas une occasion de faire une nouvelle rencontre et d’en extraire le meilleur, c’est à dire, tout ce qui se trouve en bas de la ceinture. et oui, les hommes sont les meilleurs dans ce domaine, et comme chacun sait, c’est la seule chose dont ils puissent se vanter. pour en revenir à ma description, je dirai donc que je suis brune, assez grande, environ 1m72 pour 53 kilos, une silhouète svèlte mais avec des formes généreuses, et là ou il faut. tout ce dont une femme a besoin pour attirer ses proies. et mon attout majeur de séduction, se sont mes yeux vertsémeraudes, plus d’un homme s’y sont noyés… mais je vous raconterai tout ça plus tard. en ce qui concerne ma carrière, et bien que dire… j’ai beau avoir un physique de top modèle italien, je ne roule pas sur l’or et je suis encore bien moins pdg d’une grosse boîte. je suis tout simplement assistante de direction dans une boite de pubs pour mannequin, à la uggly betty un peu, excepté que je ne ressemble pas à un boudin sur pattes ! je fais mes 35 heures comme tout le monde et j’ai des collègues de bureau aussi pestes que les votres ! on a toujours une ennemie sur notre lieu de travail aller savoir pourquoi ? sans doute pour nous distraire de cette monotonie qu’est le travail dans un bureau. je vis seule dans mon appartement de 80 m2 dans le 9ème arrondissement de marseille. ahhh… marseilles a tellement changé ! c’était une ville très belle dans mes souvenirs d’enfance. les cigales chantaient avec l’accent marseillais. maintenant les seules choses que l’on puisse entendre, ce sont les insultes qui fusent à tout va dans les rues marseillaises, les ordures jonchent les trottoirs, les agressions en tout genre ne se comptent même plus… il faut être fou pour sortir seul le soir. ah c’est sûr, c’est une ville active, il s’y passe toujours quelque chose, mais pas forcement que des fêtes estivales. je m’ennuie très rarement, car je suis une véritable boulimique des hommes. si je devais calculer le nombres de mecs qui sont de passage dans mon lit, mes mains et mes pieds ne me suffiraient pas à compter le tout. je rencontre des hommes de toutes races, de toutes tailles et tous différents les uns des autres. j’aime le mélange des couleurs… mais ce que j’aime par dessus tout, ce sont les hommes qui ont de quoi m’impressionner au lit. ce qui me fait marrer, ce sont les femmes qui disent que la taille du sexe de leur mec leur importe peu, et que ce qui compte, ce sont les performances. ahahahaha, elles n’osent tout simplement pas dire que leur plus grand rêve et de faire sauvagement l’amour avec un homme bien membré. tout ça pour pas vexer les minis pénis que la majorité des blancs ont. et oui, comme chacun sait, les meilleurs hommes aux lit sont les blacks, et je peux dire que j’en sait quelque chose… pas de commentaire -- le commencement classé dans : non classé — 22 juillet, 2009 @ 1:10 si je suis devenue une boulimique des hommes, cela est très certainement dû au fait que mon père multipliait les conquêtes, et que je les voyait défiler à la maison les week end ou maman était absente. etant hôtesse de l’air, ma mère était très peu présente avec nous, et de ce fait mon père devait combler son manque sexuel. pourtant ma mère était très belle, c’était une femme intelligente, drôle elle avait toutes les qualités pour rendre heureux un homme… mais cela n’empêcha pas mon père de lui être infidèle. je pense qu’elle le savait, mais comme elle était très amoureuse de lui, elle préférait se taire, et le voir heureux quand elle rentrait. jusqu’au jour ou ma mère se suicida d’une balle dans la tête lorsque j’avais 18 ans. je ne peux vous dire à quel point j’en ai voulu à mon père, cette ordure. c’est moi qui découvrit dans la salle de bain le corps de ma mère gisant dans son propre sang. je ne reconnaissait plus ma propre mère, elle avait était défiguré par l’impact de la balle. c’était une vision d’horreur pour une jeune femme de 18 ans. cette image me restera gravée à vie. j’ai pleuré ma mère pendant des années, il m’arrivait de prier pour la rejoindre, je lui en ai même voulu ; pourquoi si tôt, pourquoi ne pas s’être confiée, pourquoi ne pas avoir quitté mon père ?… autant de questions me sont passées par la tête. j’en cherche toujours les réponses. ce n’est qu’à mes 22 ans que j’ai décidé de partir de la maison et de faire ma vie seule, sans aucune aide de personne mais surtout sans mon père qui en avait profité pour partir avec l’une de ses maîtresses. et c’est aussi à ce moment là que j’ai rencontré françois. il avait 25 ans, il travaillait pour son père dans une boîte de bâtiment en tant qu’ouvrier. il gagnait bien sa vie, il était stable, il me semblait normal, il menait une vie tout à fait paisible et sans remous. tout ce dont j’avais besoin à cette période de ma vie. nous avons vécu durant 3 ans, une histoire d’amour passionnelle, fusionnelle, c’était mon premier amour, ma première expérience sexuelle aussi. je pensais finir ma vie avec, fonder une famille, être, tout simplement enfin heureuse. mais c’est un fameux vendredi soir d’hiver que tout s’écroula une nouvelle fois pour moi. je devais partir avec deux copines à moi au ski à vars les flots. on avait loué un petit studio à côté des pistes. mais ce soir là, marie, l’une de mes copines appris que sa grand mère venait de déceder suite à un arrêt cardiaque. toutes les trois abassourdit par la mauvaise nouvelle, nous décidions donc de rentrer. inutile de vous dire que sur le chemin du retour l’atmosphère qui regnait dans la voiture était très déroutant, lourd. les pleurs de mon amie, me firent fondre en larmes et me rappellerent la mort tragique de ma mère. de retour à mon domicile, je découvrit l’appartement vide, silencieux, aucun signe de françois. je déposais mon manteau, ma valise dans le hall d’entrée. je fis le tour de toutes les pièces de l’appartement et toujours pas signe de vie de ma moitié. c’est là que je vis la lumière clignotante du répondeur, qui signifiait qu’un message vocal était en entente. je fut horrifiée par ce que je venais d’entendre, de découvrir… tout s’écroula autour de moi, mes projets d’avenir, mes rêves, ma vie. je venais de découvrir que françois, l’homme avec qui je vivais depuis trois ans était un…… proxenet. le message disait « oué c’est franck, ramène toi y’a un soucis avec susanne, elle à eu les résultats d’analyse de sang, elle a choppé un truc pas beau du tout ! elle veut porter plainte, nous dénoncer et tout le tralala ! alors bouge toi si t’as pas envie qu’on découvre notre petit business ! jt’avais dit que je voulais pas qu’on l’embauche cette pute, y’avait d’autres nanas plus nikels et en meilleur état qu’elle. j’te l’avait qu’elle allait nous attirer que des problèmes. j’ai pas envie de perdre notre petite affaire. alors rapplique vite, ca urge ! » mes jambes se dérobèrent sous l’emprise du choc et je tombais sur le sol de tout mon poids, s’en en ressentir la moindre douleur. j’étais anéantis, je restait stoïque face à cette terrible découverte. françois était pour moi, la personne que j’aimais le plus au monde, la personne la plus douce et honnete que je connaissais. j’avais renoncer à l’idée que les hommes étaient des pourritures grâce à lui. je réalisais avec dégoût que j’avais tout partagé avec lui, l’odeur de sa peau était sur moi, sa salive était sur ma bouche, je courru vers la salle de bain pour me delester de tous ses retes sur mon corps, comme si j’avais était violé. je me sentais sale, bête, laide et honteuse, honteuse d’avoir cru en cette personne pendant toutes ces années, d’avoir partager mon lit e